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seb36 a écrit :Le soucis c'est qu'il y a plein de chose entre les 2... Le division de motte mise dans un substrat qui n'est pas de la terre, arrosé artificiellement et avec de l'engrais en continu, c'est du naturel apparement... Le in-vitro qui pousse nickel et bah....c'est un mystère...
Là, "naturel" a la signification de "classique" par opposition à l'utilisation d'un laboratoire, de boîtes de petri et de je ne sais quoi... [/quote]
Et au passage merci de m'expliquer mes propres phrases.... Des fois que je ne comprendrais pas ce que j'écris...
Il ne suffit pas de faire un prélèvement en terre pour faire un bambou résistant.
Si on le met en pot dans une serre, goutte à goutte, température idéale et constante, dose d'engrais continue, c'est sûr qu'il ne développera pas ses défenses naturelles, et sa capacité à se nourrir seul.
Le choc en terre va être terrible, il lui faudra un temps d'adaptation avant de grandir, développer ses racines,et se protéger des attaques diverses, climat, parasites...
C'est comme si on te nourrissait par perfusion depuis ta naissance et que du jour au lendemain, on te dit tu te nourris seul, alors que rien ne s'est développé en toi pour pouvoir le faire…
Quant à l'in vitro, il cumule non seulement ces handicaps pour grandir,+ celui ou potentiellement le clowne n'est pas parfait.
Et ça, c'est la loterie…avec en plus tout ce que veut dire la production de masse qui ne s'embarrasse pas de certains détails, ou de pourcentage de pertes, les exemples les plus divers ne manquent pas.
C'est pourquoi j'achète mes bambous chez des producteurs non in -vitro, mais également chez ceux qui laisse sa production en pots à l'air libre, sans serre, sans assistance, une dose annuelle d'osmocote à la mise en pot, après ils doivent se demmerd…. se battre… le producteur ne vend que ceux qui résistent.
Certes ce n'est pas une science exacte, et heureusement, mais c'est me semble'il partir avec des chances optimums pour une reprise rapide en terre, ainsi qu'une attitude saine et respectueuse de la plante.
Après c'est du vivant, tu n'es pas à l'abri d'un plan qui flanche, d'une erreur de jugement, ou d'une méconnaissance de ta part.
michel maurer a écrit :Il ne suffit pas de faire un prélèvement en terre pour faire un bambou résistant.
Si on le met en pot dans une serre, goutte à goutte, température idéale et constante, dose d'engrais continue, c'est sûr qu'il ne développera pas ses défenses naturelles, et sa capacité à se nourrir seul.
Le choc en terre va être terrible, il lui faudra un temps d'adaptation avant de grandir, développer ses racines,et se protéger des attaques diverses, climat, parasites...
C'est comme si on te nourrissait par perfusion depuis ta naissance et que du jour au lendemain, on te dit tu te nourris seul, alors que rien ne s'est développé en toi pour pouvoir le faire…
Quant à l'in vitro, il cumule non seulement ces handicaps pour grandir,+ celui ou potentiellement le clowne n'est pas parfait.
Et ça, c'est la loterie…avec en plus tout ce que veut dire la production de masse qui ne s'embarrasse pas de certains détails, ou de pourcentage de pertes, les exemples les plus divers ne manquent pas.
C'est pourquoi j'achète mes bambous chez des producteurs non in -vitro, mais également chez ceux qui laisse sa production en pots à l'air libre, sans serre, sans assistance, une dose annuelle d'osmocote à la mise en pot, après ils doivent se demmerd…. se battre… le producteur ne vend que ceux qui résistent.
Certes ce n'est pas une science exacte, et heureusement, mais c'est me semble'il partir avec des chances optimums pour une reprise rapide en terre, ainsi qu'une attitude saine et respectueuse de la plante.
Après c'est du vivant, tu n'es pas à l'abri d'un plan qui flanche, d'une erreur de jugement, ou d'une méconnaissance de ta part.
C'est exactement ça; D'où ma réticence à systématiquement associé in-vitro à échec. Certains auront des résultats honnêtes avec des "in-vitro" de qualité correcte et se casseront les dent sur du "tradi" qui ne voudra pas pousser car habitué depuis le prélevement à des conditions très favorables que tu rappelles (engrais, serre, goutte à goutte...). Je crois qu'il faudrait plus que 2 termes pour qualifier les différentes production qu'on trouve entre le in-vitro pur (qui va de pair avec la culture hors sol etc...typiquement les boules rouges appelées "tomates") et à l'autre bout les prélèvements en terre "à l'ancienne" (ce que tout le monde entend par "traditionnelle")
Et comme tu le dis, c'est du vivant dont il y'a toujours des aléas (voir les photos au début, il y'a des morts et des vivants pourtant tous issus du même endroit)
Depuis mon dernier post, j'ai assuŕé un arrosage quotidien durant le reste des grosses chaleurs jusqu'au premier orage. J'ai épandu 2 a 3 kilos de compost de fumier de cheval a chaque pied et réalisé un paillage en herbe de tonte sur le reste de la surface. J'ai egalement acheter de l'engrais que jai appliquer sur les feuilles et directement au pied.
Verdict, des turions sortent sur les sujets qui etaient restés verts. Ils ont l'air de bien apprecier l'engrais...
Sur les sujets qui ont souffert, rien n'a bougé pour le moment. J'avais entrepris de deterrer un sujet pr voir ce qu'il en etait au niveau des rhizomes mais je pense attendre le printemps pour leurs laisser une chance d'en revenir car sur certains pieds, ils restent quelques feuilles vertes qui ne jaunissent pas et qui me font garder espoir qu'il reste un peu de vie.
En revanche, il y a 2-3 pieds pour lesquels je suis moins confiant...