Posté : 08 déc. 2008, 15:08
et n'oublie pas les chaussures de sécurité
Bambous, Bananiers et plantes exotiques chez les fous il y a tout !!!
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Non j'ai essayé dans le jardin. Mais c'est trés humide, donc facile. (3/4 coups et on ne voit plus la bêche !). Il faudra voir en terrain plus sec.japde a écrit :C'est beau mais ce qui va compter, c'est l'utilisation. As-tu déjà essayé sur un bosquet de bambou ou toujours pas ?
non pas encoreEric a écrit :Tu as l'air d'avoir de la bonne terre Chiku !
Tu ne t'es pas fabriqué une bêche magique ?
Mais ta terre a l'air vraiment bonne ! Pas de pierre, noire sur toute la profondeur !....chiku a écrit :non pas encoreEric a écrit :Tu as l'air d'avoir de la bonne terre Chiku !
Tu ne t'es pas fabriqué une bêche magique ?
et alors ? On feignante ?
la bêche avec le tube comme manche sa marche bien
Tu l'enfonces juste avec le pied ?
et puis j'ai greffé un coupecoupe sur un tube pour les racines récalcitrantes
Oui, je vois ça !
Vivement demain hein Eric, faudrai pas qu'il y ai pas que la peinture qui parte... Parce qu'ils sont bien costauds les iridescens... Bel engin on va se régaler.Eric a écrit :Non que de l'acier, j'ai mis un coup de peinture pour vous faire de jolies photos.olivier a écrit :C'est de l'inox soudé à l'arc avec de la baguette inox ou de l'acier peint en argent ?
Mais avec l'usage que je vais en faire, je ne pense pas que la peinture va tenir longtemps !
Dans le nord souvent il n'y a pas de pierreEric a écrit :chiku a écrit :non pas encoreEric a écrit :Tu as l'air d'avoir de la bonne terre Chiku !
Tu ne t'es pas fabriqué une bêche magique ?
et alors ? On feignante ?
la bêche avec le tube comme manche sa marche bien
Tu l'enfonces juste avec le pied ?
et puis j'ai greffé un coupecoupe sur un tube pour les racines récalcitrantes
Oui, je vois ça !
Mais ta terre a l'air vraiment bonne ! Pas de pierre, noire sur toute la profondeur !....
L’invention de la râperie (1867)
En 1867, l’ingénieur et industriel Jules Linard crée à proximité de sa ferme de Saint-Aquaire (Aisne) la première râperie de France fonctionnant avec la sucrerie de Montcornet, fondée l’année précédente. Le principe, mis au point par l’ingénieur, consiste à effectuer les étapes de lavage et de râpage des betteraves en cossettes et à la fabrication du premier jus par diffusion. Ce jus est ensuite additionné à un lait de chaux et transporté par conduites souterraines jusqu’à la sucrerie, où sont ensuite effectuées les autres opérations de la fabrication du sucre. Généralement implanté à proximité du lieu d’extraction, la râperie permet de réduire le coût de transport des betteraves, qui inclus généralement la remise en état des routes et chemins détériorés par l’activité, ainsi que d’augmenter la productivité de la sucrerie. Le succès remporté par la mise en pratique de ce système conduit Linard à renforcer son dispositif avec la création de la râperie de Montloué, également reliée à la sucrerie de Montcornet, puis à créer à partir de 1869 la sucrerie d’Origny-Sainte-Benoîte, qui fonctionnera avec un ensemble plus étoffé de râperies. Le système inauguré par Linard est rapidement adopté dans l’Oise, notamment avec la râperie de Mermont, reliée par canalisation à la sucrerie de Vauciennes. Dans la Somme, la sucrerie d’Abbeville, fondée en 1872 est également issue de ce système où gravitent cinq râperies Sur l’ensemble du territoire picard, une soixantaine de râperies traitant 150 t. / jour de betteraves existent avant 1914, pour environ un tiers des sucreries. A la veille de la Première Guerre Mondiale, la Somme dénombre 27 râperies, l’Aisne, 28.