Le vent va déchirer ces voiles: comme par hasard la grande majorité des zones infestées sont des zones à vent violent.
Les papillons pourront s'échapper.
Et puis à mon sens les palmiers qui ont auront eu un voile dessus pendant rien qu'une partie de l'été subiront le même coup de soleil que les parisiens qui s'exposent directement sur les plages du Sud
Les autres qui auront gardé un voile tout l'été, déjà affaiblis par les larves du papillon, je doute de leur résistance à l'arrivée de l'hiver suivant.
Les nématodes, bien sur je suis pour !
... Mais comme tout le monde: chez les autres (tarif exorbitant, il me faudrait doubler mon salaire mensuel... juste pour commencer à y penser
).De toutes façons j'imagine mal un mec friqué se casser la tête ou prendre le risque de défigurer l'allure de sa piscine, ne serait-ce qu'avec des sachets sur ses beaux spécimens. Il ne pourrait les vanter devant ses potes.
En ce qui concerne les collectivités territoriales... Je ne suis pas sur qu'un élu présentant la douloureuse à ses administrés ait une perspective de carrière bien longue.
Alors... Bon comme je dis, c'est chimique ou abandon (j'appelle toujours un chat, un chat !).
J'ai eu l'occasion d'en débattre avec Nicolas ANDRE (je me permets de le citer puisque tu cites ses travaux), j'ai "travaillé" avec lui dans le piégeage du charançon. C'est dire que le sujet m'intéresse.
Cependant... Comme pour beaucoup d'autres "choses", je suis hélas convaincu que nous partons dans la mauvaise voie.
